Ce qui me parcourt et qui m’achève
Qui me troue, me creuse
Me confond et m’unit profondément
La douce romance d’un prénom et d’une intuition
…Comment se fait-il ?
Laissez-moi me reposer dans les choses magiques que j’y butine les mystères éclos de la vie
Je n’avais pas besoin de savoir sa fête en Février pour savoir, je savais c’est tout
Mes hésitations avaient placées Virginie en second
Mais tout menait au premier
Le loto était ma date naissance et j’en cherchais une autre…
Je ne savais pas pourquoi, mais je savais. Le plus stupide est d’en douter quand on sait, de chercher les clefs qu’on a en mains.
Comment se fait-il ?
Quelqu’un renvoie t-il des syllabes en écho du ciel
Jusqu’à les incorporer par je ne sais quel sortilèges dans les nervures de mon cerveau
Et d’imbiber ses syllabes (plus que les lettres insipides)
Ses syllabes en irrigations dans le bain céphalo-spinal
Les imbiber jusqu’à l’évidence
Que mon corps même le respire comme une ritournL
L’apprendre par cœur
Par cœur…
Et que ce refrain fasse mon homéostasie
Ses syllabes
Son contenu
Con tenu
Jusqu’à les manger de l’intérieur de mon âme
Les désirer et qu’elles m’enflamment
Comment… ?
Ou bien, si personne ne m’en a soufflé mot, la proximité de nos maisons facilite t-elle le transfert ?
Tout raisonnement accolé à cela n’est-il pas débile et primaire ?
Demanderais-je à la lumière pourquoi elle luit ?
Et la lumière…
Comme une RitournL
Qui me chantaient déjà qui elle était
Oh je comprends que tout ceci peut sembler curieux
Je parle pour celui qui me lit
Et je m’en carre car rien ici n’est destiné au lecteur clandestin
Mais je voulais juste qu’L sache que je savais
Que c’est exceptionnel pour le monde des vivants dans le mouvement,
dans les turpitudes quotidiennes
Mais finalement si normal quand on se pose et s’y repose
Le plus stupide et d’en douter quand on sait
J’ai beau être mystique sur les bords
Les manifestations pleines et gracieuses
Quand elles se produisent dépassent de loin mon imagination
Elles appartiennent aux mystères insondables
Chers aux poètes et aux vivants
Et quand je vis encore
Voilà qu’elle frappe et relègue mon intelligence à celui de l’ Australopithecus
Car je ne décode rien, je n’essaye même pas
Elle-même, indécodable
Comme une RitournL
Mon Dieu ce qu’elle est ….
credits : 1 L - 2 Australo
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