J’ai reçu bien des commentaires. Certains justes étranges, d’autres menaçants. J’ai reçu des encouragements et des injonctions d’arrêter immédiatement ce blog sous peine de poursuites. Poursuites de quoi ? Oui, en tout cas je poursuis. J’ai reçu des rendez-vous, des invitations, des insultes, des louanges. Tellement peu de commentaires valables en fait car vous l’êtes si peu.
J’ai reçu des messages qui montrent combien il est facile de se faire des films. De ne pas comprendre le sens de l’hommage personnel que je rends à maîtresse. Qu’il n’y a qu’elle. Où plutôt comme je le décrivais, un blog sur le torrent de boue et de lave qu’elle déchaîne en moi.
Maîtresse, en Septembre, dans un message laconique m’a laissé carte blanche, m’indiquant au passage que si elle n’appréciait pas tout, elle saisissait le caractère personnel de ce blog. Et c’est à vos pieds que je voudrais baiser que je m’abaisse pour monter une nouvelle pierre à l’édifice.
Dans mon absurdité, dans ma folie, dans ce qui me reste d’intelligence que le monde moderne n’a pas ravagé, dans mon imagination, dans mon vécu, oui mon vécu, mon intérieur JE NE SUIS PAS PRET D’ARRETER LA DESCRIPTION DU FEU QUI ME CONSUME A VOTRE TOUCHER, A VOS PAROLES, A VOS ******************. JE M'EN FAIS LE MESSAGER.
Ce blog est une soumission. Une liberté. Une permission. Une grosse commission.
Je ne suis pas au fan club de cloclo. Je n’ai rien d’une groupie. Je n’ai rien dans ma vie qui a priori me ferait esclave de déesse, comme je l’ai déjà écrit, je suis tellement un mec normal, avec une trajectoire normale. Et ne me jugez pas comme un déprimé de la quéquette, un fondu (quoique je puisse l’être). Je suis un mec normal, optimiste, heureux de ce qu’il vit. Quoi alors ? Mais maîtresse c’est au-delà du reste. C’est le continent de mon intérieur. Elle forme avec son corps un prolongement naturel de ce qui me fait. Mais à quoi bon l’exprimer si vous ne l’avez saisi déjà ? Lasse, mon expression s’embourberait et risquerait de devenir incompréhensible. Maîtresse est mon aspiration profonde. Je ne sais les autres hommes, je sais pour moi. L’adoration de ses courbes et de toute la beauté qu’il nous ait donné d’admirer est une adoration superficielle (celle dont je me serai contenté à 20), maîtresse est un tout d’une magnificence brûlante. En fait, plus que son apparence extérieur, c’est dans les cheminements intérieurs qu’elle me fascine à l’infini.
Bien-sur tout ce qu’elle exprime ******************************* Il en faut ni avoir de cessité intellectuelle ni affective ******************** **************. Bien-sur pour moi, il faut user de malignité, de perspicacité et les mêler à mon ressenti. C’est un jeu intérieur où je me risque à dire que je décèle parfois le merveilleux derrière les mots. Dans ses cheminements. Un secret. Pas toujours derrière la carapace.... Mais je me fais volontairement trouble.... Mais vous me saisissez maîtresse. Quel honneur que vous parcouriez ainsi les mots que je vous lance comme des tulipes et des orties à vos pieds. Quel honneur que dans le parcours de vos yeux, là, ici, maintenant que vous me lisez, que vous me déceliez et me démasquiez. Quel honneur que de tout pouvoir vous balancer, dans votre attention renouvelée, surprise et amusée. Maintenant. Prise par surprise. Vous êtes prise. Emprise de mes mots, je peux tout vous dire. Vous avez ma bouche entre vos fesses, il n’y a plus de place pour rien d’autre et je vous mange et vous savoure. Derrière l’odeur de cigarette prisonnière du tissu, je vous avale, je vous déguste, je vous fouille au fond de votre corolle anale qui s’étend à mesure que ma langue la travaille, ö maîtresse, captif de votre cul qui s’affaisse et m’écrase le nez, dans votre balancier de ballerine votre mouille comme un don céleste abreuve mon palais plein de vos âcreté de trou du cul comme c’est délicieux comme c’est un privilège inestimable ô maîtresse, ma langue un papier lotus qui vous éponge, comme je suis à vous dans votre étouffement, mes cheveux tirés vos griffes plantés et ma bouche toujours plus activé dans un souffle qui pâlit, qui faiblit, qui râle entre vos cuisses musclés et votre poids que vous alourdissez, et mes rugissements de plaisirs et de douleurs maîtresse maîtresse combien il est bon d’avoir eu vos yeux à la poursuite de mon cinéma qu’il ne tient qu’à vous de convoquer, de brûler. Ma langue un lotus pour votre anus. Brûlez, mordez, griffez, meurtissez mon cinéma à l'envi.
Ô maîtresse
Je me suis emporté
Heureux irrémédiablement
Et votre tache là
Heureux
Heureux
De vous avoir croisé
Votre blog
Je me perds
Je soupire
Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|
Commentaires