Le matin
quand je me lève,
j'allume mon PC
je pense à Maîtresse.
Dans la ville
quand j'y marche
mes pensées s'élèvent
et je pense à Maîtresse.
Facile, je parlais
J'embobinais
Aujourd'hui plus une d'entre-elles
n'arrivent au talon carré de Maîtresse.
Elles ont perdu leurs attraits
Car j’aspire à plus profond
Que le trou de leurs cons
Et de maltraiter leurs trous du cul.
Je suis heureux de vivre
et je pense à mourir
d'une certaine mort.
Ma déchéance, je pense à Maîtresse.
j'ai envie d'être irresponsable
le délinquant de mon propre corps
de le laisser aller à vau-l’eau
et mon âme : un radeau.
Qu’une éducation drastique
Me prenne sans cesse en défaut
Abandonné aux plus fines représailles
Rabaissé comme un esclave.
Les couilles prises en tenailles.
Que cette éducation me plonge dans le noir
Comme un enfant sans repère
Dans la tanière du pédophile
Tremble, pleure et attend son heure.
Je n’ai plus qu’une chaîne…
Je n’ai plus qu’une chaîne…
Reliée à la main ferme de maîtresse
Je ne suis plus qu’une chaîne qu’elle traîne !
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