Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity
Corps et "spon dance"
Comme je t'ai martelé le cul. Je te sentais bien. A chaque retrait tes sphincters serraient ce qu'ils pensaient, par erreur, mon retrait et
j'en profiter pour réengainer ton anus. A bonne allure, mon ventre claquant sur tes fesses, ma bite tendue au maxium de son excitation, mes doigts crochetés à tes hanches et à tes cheveux, je
jouissais considérablement dans de bonnes et abondantes giclées.
Le présa maculé de ta merde décrivait tous tes efforts et ce que tu avais enduré. Magnifique ! Par pudeur je le glissais dans la poubelle de
la salle de bain bien planqué dans un emballage.
Je t'ai trouvé plus expressive. Nettement plus. C'était délicieux. Moi aussi j'ai laissé filé.
La prochaine fois tu m'écarteras tes fesses que je les turbine, électrise, détruise !
Très bof sa chatte.
De voir ainsi celle qui nous révèle bas, cette déraison de moins, n'est-elle pas raison de plus pour offrir, à tout le moins, un lacrymoire à celle qui nous a mise bas?
M'enfin, à quelle époque vivez-vous?
On a tout de même découvert grâce au célèbre "Va niquer ta mère!" de Madame Freud en réponse à une proposition sodomite que le caca méritait d'être valorisé sans pudeur (par exemple en engrais pour faire pousser les poireaux)