Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity
On le savait déjà.
Il y a l’hiver et le temps des cerises.
Les parents qui vont et leurs enfants qui viennent…
Il y a les quarks d et les quarks u et les Strange.
Il y a la beauté et ce qui l’entoure comme un feuillage autour des coquelicots.
Il y a les jours saints et ceux de nos défaites.
Il y a la cyprine et les larmes, même si les deux peuvent coaguler.
Il y a les compteurs et l’envie qui nous ronge de les trouer.
Il y a Justine et il y a le malheur.
La commune et Thiers.
Et puis, il y a plus proches.
Maîtresse Trinity, la libido et moi sont trois.
Aucun n’a besoin de l’autre pour exister.
Nulle obligation que l’un améne à l’autre même si deux,
même si trois peuvent
coaguler.