Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity

Dans cette vie

On fini froids et secs

Sépulcres blanchis.

 

On a la bonté à l’économie

D’une pensée de gauche

On s’affranchit du méchant

A peu de frais

Ce n’est pas nous le méchant !

 

Le miroir nous renvoit cette image difforme

Ce n’est pas nous le difforme...

 

A marcher sur les mains qui se tendent

C’est notre destinée que l’on fend.

 

Quitte à perdre mon âme

Je serai marchand d’armes

en Abyssinie

De toute maniére j’ai jamais rien compris

à ce qu’il écrivait.

 

Chez Lady l’ambivalence est

regards.jpgComme ses deux merveilleux seins

Libres comme l’air

Se balançant comme s’ils étaient à son cou accrochés

Et qu’ils risquaient d’y tomber ;

L’ambivalence d’une vie sociale à gauche de base

A celle d’un rejet en bloc, nazie de bloc

Pour le charme d’avilir jusqu’au meurtre s’il lui passait par l’envie

Mais elle ne s’y résoudrait

Pas plus qu’une vie sociale de nase.

 

 

 

 

Lady c’est l’autarcie

C’est le rêve nazillon

C’est la culture dans le cul

C’est le raffinement dans le cul

C’est la sainte nitouche qui t’étouffe et te tue sans pitié

C’est les coups de pieds dans tes roustons

Et c’est la caresse au poéte, au génie, s’il en est.

 

Lady

C’est un monde de contraste

C’est les doigts qui te chatouillent la prostate

C’est son rire qui illumine, là, à l’instant,

C’est la surprise dans ses si beaux yeux

C’est la symphonie d’une vie

C’est une multitude d’envies

Lady, qui l’a connu

C’est un trésor enfoui

C’est un charme fou

C’est une rousseur

C’est le parfum qui me fait perdre pied

Parfum de sa chair

De ses cheveux sur mon visage

Lady, c’est un feu

Chouf le feu !


 

Felinia09.jpg

Lun 17 mai 2010 Aucun commentaire