Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity

Il revient des odeurs comme quand on était enfant quand on se plonge dans l'onde dans la marée de notre enfance. Non pas que j'ai quelque nostalgie, ce n'est vraiment pas mon truc, mais les odeurs dont je parle forment un tout et sont une ouverture vers une sorte de candeur qui permet toutes les audaces depuis son antre et son intimité.
Lady Trinity...
Ce que je veux lui dire...
Combien le silence renouvelle mon inspiration. Une inspiration que je juge équidistante entre elle et le ciel qui coiffe mon cervellet de nabot et de prétentieux d'idées romantiques, poétiques, chevaleresques et approfondies comme je fouillerais un puits sans fond.
Lady Trinity est tout un poéme et ce n'est pas lui faire offense que de reprendre si triviale sentence. Elle est tout un poéme de femme, vibrant. Pour moi, elle annhile toutes références du passé. J'en cherche et j'en ai cherché, des auteurs, des images, des vécus mais aucun ne m'inspire l'exaltation de ce qu'elle est elle au fond.
Le fond, car il s'agit du fond. Insondable bien souvent car je n'ai que quelques bribes d'indices... mais j'y suis attentif et je l'ai exprimé par le passé à tout ce qui peut... passé inaperçu.
Dire que je la ressens n'est pas vanité. Il serait crétin de faire de la modestie à son égard. Voire irrévérentieux.
Bien-sûr elle en raconte... que n'ai-je lu... et bien-sûr elle est plus formidable que ce qu'elle peut en dire. Non pas dans les gros traits de peinture qu'elle nous jetais au visage jadis (au temps où elle fleurissait  son blog) mais au contraire dans la finesse de ses expressions. Je veux dire expression de son intérieur.
Lady Trinity...
Comme je vous aime...
Vous me lisez, vous me comprenez... mais pas encore assez... tellement...

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Dim 28 mar 2010 Aucun commentaire