Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity
Cette sueur j’en suis esclave.
Cette sueur qui luit sous votre aisselle me donne une fringale sexuelle dévastatrice.
Je voudrais m’enivrer de votre sueur et que vous refermiez votre bras sur moi.
Le galbe de ce sein parfait en dessous et sa veine bleuté qui le traverse, son téton érigé est un appel à ma bouche. Saisir votre sein à pleine main c’est saisir le cœur en dessous et le coeur de mon propos serait de vous dévaster tellement, tellement, mon trouble s’en trouverait immense.
A la faveur de la fragrance forte qui effleure votre peau je forerai de ma langue comme sous votre peau pour m’enivrer encore et trouver votre saveur originele débarrassée des effluves qui la troublent. Aussi bon que sente votre Hermès, aussi forte votre cigarette, jamais pour moi ne vaudra ce qui émane de votre corps vivant, mouvant, suant merveilleusement.
Il y a plus de vous dans votre merde et votre pisse que dans tout ce qui vous habille. Dans votre merde et votre pisse je trouverais votre fragrance I****, elle saoulerai mon bonheur et défigurerai ma bite prisonnière de son pantalon tant dans ce moment là il pourrait sembler trop court.
Dans votre baiser une saveur tabac, je ne saurai m’en contenter sans vous manger l’intérieur de votre bouche et
boire la salive naissante sous votre langue, fouiller l’intérieur de vos joues et remonter jusqu’au palais où nos langues batailleraient, sublimes, incontrôlées. La sodomie, elle commence là. Le
don de vous commence là, dans la charge sexuelle de nos salives échangées, dans l’imprégnation de votre saveur véritable qui me coule dans la gorge comme un filet d’huile. Parfait onguent. J’ai
le goût de vous. Honneur et gloire. J’ai le goût d’********* et donnez-moi encore de vos divines émanation que ma langue tournoyante débusque jusque sur vos amygdales mygales, que ma langue
affolée comme mon rythme cardiaque, comme je n’en peux plus de vous serrer et comme je veux ce soir déchirer les mystères de la vie. Avec vous. Par vous. Vous griffer, vous mordre, vous prendre,
vous faire mal,
si mal. Et du bien,
si bien.
C’est la naissance du monde. Une bouchée d’éternité. Une gravité sous mes pieds, abandonnée. Une cuisante pointe
incandescente qui excite cœur, con et bite. Votre palais, un encensoir, mon corps un brasier qui vous brûle avant qu’il ne soit que cendres.
Oh maîtresse que vous êtes belle.
Ce mot là vous habite.