Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity

 

 

Ce que j’aime remonter

Ce que j’aime dénuder

Découvrir

Ivre de bonheur

Mon palpitant dépassant les 160 sur autoroute

Mon palpitant on le sent même quand mon corps anguille glisse sur vos cuisses blanches

Il tambourine

A mesure que je découvre vos fesses

Que mes mains les écartent sans ménagement

Leur ouverture laisse échapper les fragrances de muscs de vos lèvres découvertes plus bas qui s’impatientaient

Par tout un charivari qui rendra folle ma venue

Je lèche le haut des cuisses, j’aspire les odeurs, guette vos sons

Puis je claque vos fesses, je les veux rouges

Surprises et honteuses d’être battues et rebattues après tant de douceurs

Ce que j'aime le contraste

Du blanc sur le rouge

Plus quand il tire au violet

La ceinture tiré

Suprême délice d'anis

Il est temps de savourer

De fouiller, de forer

Puis la nuit sur votre tombe de perversions avançant sur votre corps sublîme et entravé

De ruiner et de défoncer

Jusqu’à perdre haleine

Dussé-je user quelques menus et irraisonnables *************

Pour que vous

Plus que moi

Joueuse et jouissante

Vous ne sortiez dévasté

Détruite du cul

Laminée

La bave aux lèvres

Et l'odeur de mon cul dans votre bouche à l’asphyxie

Mais vient ce temps délicieux de vous posséder

Par vos ouvertures

Votre bouche

Je l'ai tant savouré

Et nos langues si souvent salive mélangé

que nécessaire au cocktail de votre fragrance unique que Dieu a fait

Il me faille fouiller vos autres orifices

Ah je fouille, je meurs d'aise

Quel élan fantastique

Me fait vous lustrer devant derrière sans relâche

De mille façons

J’agite ce cocktail ambré dans ma bouche, je le roule de ma langue dans mon palais

Oh comme je veux fouiller tour à tour cet anus et cette chatte qui fond, qui coule

Comme je veux en profondeur et d’un habile coup de force faire saillir ce trou de balle en pinçant à l’extérieur de toutes mes forces et entraîner la courroie à s’ouvrir et se déployer devant ma bouche experte

Et nettoyer la courroie au plus profond que ma longue langue autorise

Doux plis anaux

Doux anus

Comme il fleure bon d’être à vous

Et d’avoir vos goûts dans ma bouche

Les goûts de vous

Que ma bouche, bouche d’égout, dédié à votre écrou

Et de ramoner intensément votre chatte fulminante

Qui n’en peut plus

Et vous entendre gémir

Oh comme il est bon de vous boire

De vous lécher, lécher, maintenant à un rythme insensé et passer d’une ouverture à l’autre

Tout le temps, tant qu’il s’écoule encore et encore

Et que je morde ses belles fesses

Et que je les écarte

Et qu’elles me soufflent au visage

Et que je récupère le pet glissant sur ma langue

PROFITANT DE FAIRE FONDRE MA PLUME DANS VOTRE TROU DU CUL

LES ENDROITS RECULES QUE LE ROSE PAPIER N'A JAMAIS PU NETTOYE

Pour qu’au plus vous soyez ouverte à une analyse effilée

Que je m’enfonce à m’étouffer, à ne plus pouvoir respirer que par vos ouvertures célestes

Qu’elle est bonne votre chatte rousse

Qu’il est bon votre cul roux

Je meurs de félicité

Alors que la violence sur vous est en train de se coucher

Et que la nuit vient où j’extirperai tout sans ménagement

Et qu’à la fin d’une sodomie décapante

Aidé de quelques vicieux et dangereux stratagèmes

Qui vous feront crever de bonheur

La jouissance se fera haineuse et amoureuse

Corrosive et incisive

Je sortirai la bite merdeuse

Et vous au bord de perdre votre souffle

Je vous veux tellement

 


VERS. 2

Sam 28 mar 2009 1 commentaire
tout simplement excellent...
edouardnj - le 28/03/2009 à 08h25