Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity



Mon estomac   bruisse    de son rétrécissement

Il résonne          bleu     entre       4 quatre murs 4      fraternels

 

Les pantins enfermés,                 attachés tout autour

Sont des arbres     décharnés               après la foudre

Et posent            dans leur immobilité                  d’un tableau lugubre

Mimant les  désarticulés            d’un Guernica



Je ne les sentirais       même pas        exister

Si Leurs haleines  et     leurs sueurs       ne m’abreuvaient

En litres      marrons              nauséabonds       de terreur

Du sort enterré que maîtresse réserve

 


O maîtresse votre dureté …

 



Ô maîtresse, comprenez mes yeux éberlués

De vous voir au naturel si intransigeante

Comprenez d’effroi qu’ils prennent buée

Vous torturez à crever avec tant d’élégance !



Mar 28 oct 2008 Aucun commentaire