Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity


 


Ce n’est pas vos bottes que je lèche

Bien qu’elles vous siéent comme la chair

C’est la femme nu pied à l’intérieur.

 

Ce n’est pas le goût de votre crachat

Qui me noie la bouche et le visage

Que je bois, c’est vos coursives intérieures.

 

Que vous suscitiez, attaché, la torpeur

Et dans les humiliations nombre horreurs,

C’est votre terrible liberté qui me frappe.

 

Ornés par-dessus de rousses flammèches

Ce n’est pas vos yeux qui me les abaissent

C’est l’âme corrodant de la femme à l’intérieur.

 

Une ame, un corps comme un soleil libre et lumineux


Dim 26 oct 2008 Aucun commentaire