Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity
Je me souviens de l'éxaltation de ce livre : "l'ile aux sadiques" sa lecture, vers mes 18 ans a transformé ma sexualité. J'y
découvrais, le viol, le lavement puis la scatophilie, la torture varié, l'humiliation et la mort dans un supplice horrible de l'héroine dans les sous-sols du
chateau.
Je me réglais à chaque ligne, descriptions sordides et finement écrites, en toute immoralité, et m'identifiait aux sorts peu candides des suppliciées. Dans mon for intérieur, oui, je voulais être elle(s) !
"ile aux sadiques" - collection "les érotiques de Gerard De Villiers" - Auteur : Bella
18 ans plus tard, (j'en ai 36 aujourd'hui) je télécharge ou achéte des films trash qui ressemblent à s'y méprendre au réel de mon "ile aux sadiques" :
Mood Pictures spécialisé dans les fouets extrémement violent de jeunes femmes consentantes (mais "toute fraiche" pour la plupart) par d'autres maitresses horriblement dures et connaisseuses. Attachée, dans une mise en scene excitante (dans une église avec de nombreuses femmes voyeuses par exemple), je m'identifie et envie même le sort des fouéttées... alors que je me sens tellement incapable d'endurer serait-ce 3 coups si appuyés...
http://www.mood-pictures.com/
Dans le même genre "russian slaves" et "russian discipline" offrent un échantillon de caning, spanking, swipping ROUGE EXTREME également.
D'un tout autre ordre, des films japonais "enema torture" présentent d'assez jeunes filles endurant des lavements anaux cuisants durant plus d'uen heure. Dans l'anus, il rentre de tout : vinaigre urticant, oeufs, jus de fruits, banane puis god démeusuré. Cela m'excite au plus haut point. Je crois voir dans le supplice et l'écartélement des chairs le supplice final de mon livre fétiche. Et là encore, même incapable de tout, j'envie le sort des suppliciés...
anaru torture # 5 (lien impossible)
Voilà pourquoi Miss Trinity m'aspire l'ame, les sens en me chavirant au plus profond de mon être. Je crois ressentir en la lisant que mes aspirations d'être avili sont les siennes d'avilir, humilier et torturer. Sa grande liberté me sidére et me happe. Je m'aggrippe aux branches pour ne pas m'envoler !
Je me réglais à chaque ligne, descriptions sordides et finement écrites, en toute immoralité, et m'identifiait aux sorts peu candides des suppliciées. Dans mon for intérieur, oui, je voulais être elle(s) !

"ile aux sadiques" - collection "les érotiques de Gerard De Villiers" - Auteur : Bella
18 ans plus tard, (j'en ai 36 aujourd'hui) je télécharge ou achéte des films trash qui ressemblent à s'y méprendre au réel de mon "ile aux sadiques" :
Mood Pictures spécialisé dans les fouets extrémement violent de jeunes femmes consentantes (mais "toute fraiche" pour la plupart) par d'autres maitresses horriblement dures et connaisseuses. Attachée, dans une mise en scene excitante (dans une église avec de nombreuses femmes voyeuses par exemple), je m'identifie et envie même le sort des fouéttées... alors que je me sens tellement incapable d'endurer serait-ce 3 coups si appuyés...


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D'un tout autre ordre, des films japonais "enema torture" présentent d'assez jeunes filles endurant des lavements anaux cuisants durant plus d'uen heure. Dans l'anus, il rentre de tout : vinaigre urticant, oeufs, jus de fruits, banane puis god démeusuré. Cela m'excite au plus haut point. Je crois voir dans le supplice et l'écartélement des chairs le supplice final de mon livre fétiche. Et là encore, même incapable de tout, j'envie le sort des suppliciés...


anaru torture # 5 (lien impossible)
Voilà pourquoi Miss Trinity m'aspire l'ame, les sens en me chavirant au plus profond de mon être. Je crois ressentir en la lisant que mes aspirations d'être avili sont les siennes d'avilir, humilier et torturer. Sa grande liberté me sidére et me happe. Je m'aggrippe aux branches pour ne pas m'envoler !
Jeu 17 jui 2008
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